Ça fait déjà plusieurs jours qu’on est à Wellington. On s’y plaît bien et la ville nous inspire pas mal. C’est d’ailleurs une des premières villes en NZ où on voit autant de street-art, de sculptures en tout genre et de gens intéressants.
Faut croire qu’on n’est pas les seul à apprécier la ville.
Lonely, (oui, on a tendance à donner des noms à tout ce qu’on trouve) la petite otarie qui squatte la digue du waterfront depuis notre arrivée (après les plusieurs jours de tempête) est devenue une attraction.
Il suffit de s’arrêter devant et regarder vers la digue pour que des dizaines de business(wo)men en route vers leurs cubicle stoppent et dégainent leur portable après avoir lâché un « hooooo, a seal, that’s cute!«
À part ça on commence à chercher du boulot plus ou moins sérieusement parce qu’on hésite toujours entre rentrer à Auckland ou rester ici pour s’installer temporairement.
Ce matin là on traînait dans le musée Te Papa pour essayer de chopper internet et recharger nos batteries quand on s’est fait surprendre par notre deuxième tremblement de terre. Celui-ci était plus impressionnant que notre premier puisqu’il atteignait une magnitude de 5.7 sur l’échelle de Richter. On s’est senti secoués latéralement et on a entendu les murs grincer quelques secondes. Si on avait su que c’était qu’un prémisse du gros seisme qui allait toucher la ville quelques jours plus tard…
Ensuite, on a visité la City Gallery, le musée d’art moderne de Wellington. Cette visite puis les nombreuses sculptures éparpillées en ville nous inspirent beaucoup surtout avec la lune en arrière plan qu’on voit à longueur de journée en ce moment.
Ha non, ça c’est pas la lune mais une sculpture suspendue au dessus du Civic Square.
Presque au bon endroit, au bon moment.
Tiens on voit le geyser de Wai O Tapu d’ici! Au moins c’est gratuit!