150 kilomètres…
C’est la distance que nous avons parcouru à pieds en nous déplaçant dans Montréal depuis notre arrivée il y a deux semaines.
On a les mollets de Lance Armstrong, mais sans l’EPO.
L’avantage, c’est qu’on peut bouffer ce qu’on veut.
Genre ce matin pour le ptit dèj, on a testé une crème brûlée au sirop d’érable.
Comme on aime la crème brûlée et le sirop d’érable, on s’attendait à avoir un feu d’artifice dans la bouche, mais on a été déçu… C’était ultra gras, pas croustillant au dessus, et il fallait vraiment chercher le goût du sirop d’érable… Ça nous est resté sur le bide toute la journée.
On est ensuite parti vers le centre ville en passant par le quartier latin rue St Denis…
On a débouché sur le vieux port et le vieux Montréal. On pensait que ça allait être plus beau vu tous les éloges qu’on avait lu sur ces quartiers dans les guides de voyage. On a surtout vu des entrepôts, des paquebots rouillés, et des vieux immeubles de type européens.
On est retourné vers les buildings, entre lesquels se cachent parfois de belles églises qui dénotent dans le décors.
Les rues sont animées et on y parle surtout anglais, ça nous change du Plateau.
Le climat est super variable. Hier il faisait 29°, et aujourd’hui 11° avec du vent bien frais ! Mais on a aussi vu qu’il neigeait en France du côté de Poitiers, alors on va pas se plaindre !
En rentrant, on a voulu se faire un petit plaisir en allant acheter une bonne baguette dans une boulangerie « française ». 1,75€ la baguette ! On se demande si ils les importent spécialement de France une à une par avion pour les avoir à ce prix là! Le pire, c’est qu’elle était même pas bonne. Croûte croquante mais bien trop dure.
On râle, mais ces quelques expériences négatives font partie du charme de la découverte et de la vie à l’étranger !
Le soir, deçus par nos expériences culinaires de la journée, on est parti à la recherche d’un bon ptit plat à emporter autour de chez nous. Vu qu’on ne trouvait rien (les endroits qui nous semblaient bon étaient déjà fermés, ou sinon c’était des restos trop chics) on s’est rabattu sur une petite rôtisserie portuguaise avec un personnel qui avait l’air fatigué à cette heure tardive. On a craqué pour un poulet rôti aux épices piquantes / pommes de terres croustillantes et natas en dessert.
C’était tellement bon qu’Amy, qui ne nous lâche pas d’une semelle (elle rentre toute seule dans notre studio par un trou de canalisation quand on ferme la porte à clé), nous a observé avec envie pendant toute la dégustation.
Rôtisserie Kiri-Piri Portuguaise 4495, St Laurent, Montréal ± 7$ |
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THE FAMOUS INSOLITE THINGS OF THE DAY
Comme on est des gros rebelles de la life, et qu’on écoute du Dany Brillant à donf pour faire chier nos voisins, on pense avoir trouvé l’endroit parfait pour s’approvisionner en lectures inspirantes :
Apparemment, il y a d’autres français en manque de bons fromages à Montréal
Minü notre chat nous manque beaucoup, mais heureusement, on peut lui parler sur Skype pour lui raconter nos aventures !
« On râle, mais ces quelques expériences négatives font partie du charme de la découverte et de la vie à l’étranger ! » => Vous avez tout compris ! Vous avez Free ? ^^
Non justement, on aimerait bien qu’il y ait free ici avec internet illimité et haut débit !
Woutch! Vous badinez pas avec le tourisme! Je serais bien incapable d’en faire autant, mais c’est de loin la meilleure façon de découvrir une ville. Avec ça vous êtes fin prêt pour le Ironman 70.3!

On est surtout prêt à avoir des crampes partout !
bibliothèque anarchiste, rue St denis ftw. o/ (et le bar a l’air sympa)
Non, celle ci était au 2035 boulevard St Laurent !
ouiiiiiiiiiiiiiii minuuuu
sinon vous êtes rentré dans la bibliothèque anarchiste ?
Non, on a pas osé… Et puis on était très fatigués quand on est passé devant. Une prochaine fois peut-être ?
(oui je sais je commente partout mais je découvre le blog) Pour être dépaysés la prochaine fois essayer de trouver un resto qui fait des croques-monsieur, vous verrez la différence! hihihi
On a repéré des resto de raclette ou fondue savoyardes… Mais on est pas venu ici pour manger ça. Même si ça peut faire plaisir si on a le mal du pays un jour.